Poèmes gigi

merci danielle

un tit texte que j'ai écrit pour mon papa ce 26 février j2007 jour anniversaire de sa mort.

Un papa, c'est épatant,
un papa, c'est sportif,
un papa, c'est courageux,
un papa, c'est fort,
un papa, ça va vite,
un papa, ça sait tout faire,
un papa, c'est grand,
un papa, ça te donne de bonnes choses à manger,
un papa, ça te porte quand tu es fatiguée,
un papa, ça t'emporte jusqu'au ciel,
un papa, ça fait de gros câlins,
un papa, ça fait des petits frères et des petites soeurs,
et mon papa à moi,
il est "parti"
c'est dommage,
je sais que c'est la vie,
mais la vie est trop injuste,
je sais aussi que de là-haut,
tu veille sur moi,
51 ans, c'est trop jeune pour mourir,
j'avais encore besoin de toi, moi,
tu nous manque à tous,
à mes deux frères,
à mes cinq soeurs,
mais surtout à moi,
tu m'appelais ta petite avocate,
tellement je parlais trop,
ça te faisait rire,
on a à peine eu le temps de se connaître toi et moi,
quand tu es parti,
j'avais à peine dix ans,
tu avais encore beaucoup de choses à m'apprendre,
merci de m'avoir communiqué ta joie de vivre,
de m'avoir appris presque tout ce que je sais,
de m'avoir donné tant d'amour,
de m'avoir inculqué de bons principes,
qui me servent encore aujourd'hui,
avocate tu voulais que je devienne,
mais ton départ m'as brisée,
sur moi-même, me suis refermée,
et timide et réservée suis devenue,
ne parlant presque plus,
petit oiseau à qui on avait coupé les ailes,
rossignol à qui on a ôté la voix,
je n'étais jolie qu'à tes yeux,
vilain petit canard suis devenue,
sans amis, sans amours, ( si aujourd'hui j'ai un ami)
aujourd'hui encore, je passe souvent devant la maison,
où je t'ai dis adieu,
je m'y arrête un instant,
et je croix t'apercevoir,
derrière les rideaux,
nous surveillant en cachette, quand on jouaient dans la rue,
les rares week-end,
où l'on pouvaient rentré à la maison,
et pendant les 15 jours annuels de vacances,
que nous octroyait si "gentillement" (j'suis ironique là)le juge de la jeunesse,
15 jours par ans et un week-end sur deux,
pourquoi nous avoir séparés,
je me le demande toujours,
la méchanceté des gens peut-être,
quand tu es entré à l 'hôpital, je n'ai pas pu te voir,
pas d'enfant dans les chambres,
et je souffrirai toujours de ne pas avoir pu te dire adieu,
quand tu vivais encore,
je n'ai pu le dire qu'à un corps sans vie qui était mon père,
mais qui ne l'était déjà plus,
personne n'a voulu de moi au cimetière,
et j'ai du rester dans la maison vide de ton absence,
avec tonton Michel,
ton frère aveugle,
qui ne pouvais pas y aller non plus,
il nous a quitté lui aussi en 76,
à l'âge de 32 ans,
je l'aimais aussi lui,
c'était mon papa de substitution,
pourquoi la vie est elle si dure avec moi,
et me prends t-elle les gens que j'aime,
j'ai grandi sans votre amour,
je suis devenue maman par hasard,
personne ne connaît mon histoire (sauf mon ami),
mon fils Laurent te ressemble très fort,
et j'en suis fière,
ma fille samantha, c'est à moi qu'elle ressemble par la parole,
mais je ne l'appelle pas ma petite avocate,
ça me ferai trop mal,
tu me manque énormément,
de là-haut papa,
continue à veiller,
sur moi,
sur mes enfants,
sur mon ami (il se reconnaîtra),
sur tes enfants,
sur tes petits enfants, tu en a 19
sur tes arrières petits-enfants, tu en a 6 et bientôt 7,
je t'aime papa et je ne t'oublie pas,
malgré les années qui passent,
tu es et restera à jamais dans mon coeur.

il magnifique ce texte ma gigi c'est tellement triste de perdre ses parents

c trop beau tout ce que tu as écris et très touchant

très joli ton poème gigi.

un que j'ai écrit pour lui

J'te mentirais
si j'te disais
qu'j'arrive à oublier
que jamais tu ne vas m'aimer

J'aurais jamais du te dire
ce que j'avais sur le coeur
maintenant tu vas me maudire
et moi, j'laisse couler mes pleurs

J'ai le coeur en charpie
j'suis au fond du gouffre
j'serai juste ton amie
même si j'en soufre

Et si ces mots sont sortis de leur planque
foutus mots que j'ai du mal à dire
c'est que déjà tu me manque
allez va vaut mieux en r ire

C'est elle que tu veux
elle aura la première place
j'vous souhaite d'être heureux
et puis moi, comme d'hab j'm'efface

bravo gigi c'est très beau.

Un que j'ai écrit en début d'année pour ma sauterelle au moment de ma déprime, lui qui m'a soutenue dans ces moments difficiles.

Mais aujourd'hui je le dédie à mes amies du net qui m'ont bien fait rire hier soir et qui m'ont remonté le moral car j'allais vraiment pas bien.


Tu me donne ami,
Plus qu'une poésie,
Un sourire, une présence,
Tu me donne ami,
Une parole, un geste,
La raison contre la folie,
La joie pour la tristesse,
Tu me donne ami,
Ce qui manque souvent,
à plus d'une vie,
Tu me donne ami,
un rayon de sympathie. G.D.

c joli tes poèmes c triste et plein d'amour à ce que je vois bisous

merci ma sauterelle mais toi aussi tu nous as bien fait rire avec tes émoticones et le bâton de réglisse car elle ne se doutait de rien et se demandais quoi

très joli poème

C'est vrai qu'elle a mit du temps à comprendre

et si on n'avait pas changer en bâton de cannelle je pense qu'elle n'aurai toujours pas compris


C'est vrai aussi qu'elle n'a peut-être pas lu le poème sur la réglisse.

c'est sur qu'elle ne l'a pas lu, faudra lui envoyer pour encore rire un coup

Je vais lui envoyer par mail

Celui-ci je l'ai écrit quand le géniteur de ma tite bestiole c'est tiré alors que j'étais enceinte de deux mois.

Nos deux coeurs en union,
Dans le temps qui s'enfuit,
Nos deux corps en passion,
Pour une trop courte nuit.

Il y a dans ma tête,
Un espoir qui se fane,
Un nom qui se répète,
Et qui me rends profane.

Je ne peux te quitter,
Et pourtant tu me chasse,
Me faut-il t'enchaîner,
Que faut-il que je fasse.

Me battre pour l'amour,
Mais il faut être deux,
Je ne suis qu'un détour,
Dans la vie qui te veut.

Couché sur du papier,
Reste nos sentiments,
Pourraient-ils échapper,
A la rouille du temps.

nos futur mis en "un",
Qui viennent de passer,
N'avaient rien de commun,
Que de se rencontrer.

bravo gigi il est super ton poème.

merci tonton marcel,cricri et danielle c'est gentil de dire que mes poèmes sont beaux.

comment fait tu pour écrire d'aussi belles choses ma sauterelle :|

Quand j'ai mal parfois les mots sortent tout seul mais pas toujours.


L'amitié

L'amitié, c'est savoir écouter,
et pouvoir entendre pleurer.

L'amitié, c'est connaître les travers
et les accepter sans colère.

L'amitié, c'est offrir sa présence
sans réticence également dans le silence.

L'amitié, c'est ne jamais jalouser
mais plutôt féliciter.

L'amitié, c'est ne jamais juger
et toujours respecter.

L'amitié, c'est de pouvoir avec simplicité
ensemble savoir rire et pleurer.

L'amitié, aujourd'hui j'ai pensé
que c'était peut être de l'amour le bébé.

Car l'amitié, c'est aimer et être attiré
sans jamais désirer................

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Un jour, dans tes bras,

Ce jour où je serai dans tes bras,
Je l'attends avec impatience,
Quand je les sentirai autour de moi,
Je me dirai que j'ai beaucoup de chance.

Le jour où je serai dans tes bras ,
Je m'y sentirai en sécurité,
Car il n'y a que toi,
Qui arrive à me rassurer.

Le jour où tu me serreras dans tes bras,
Je ne pourrai jamais plus les quitter,
Et j'espère que l'amour que tu as pour moi,
Tu vas me le dévoiler.

Ce jour où tu me serreras dans tes bras,
J'aimerai que le temps puisse s'arrêter,

Le jour où tu seras dans mes bras,
Je ne voudrais jamais y renoncer,
Car tout l'amour que j'ai pour toi,
M'empêchera de t'abandonner.

Le jour où je te serrerai dans mes bras,
Mon cœur et mon amour je t'offrirai,
Te procurerai ton bonheur et ta joie,
Et de mes bras, te protègerai.

les 2 poèmes sont super. :D

merci , mais je suis bien inspirée par lui.
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Quand aurais-je tes bisous dans le cou?
Quand aurais-je tes caresses ?
Quand vais-je te faire devenir fou?
Quand me feras-tu hurler d'allégresse?

Combien devrais-je encore attendre?
Pour que tu puisses me prendre?
Quand me feras-tu frémir de désir?
Quand pourrais-je t'appartenir?

Quand tes mains caresseront-elles ma peau?
Quand serais-je parcourue de frissons?
Quand est-ce que tes doigts s'insinueront en moi?
Quand cesserais-je d'avoir faim de toi ?

Quand pourrais-je t'engloutir?
Quand pourrais-je te faire jouir?
Quand me feras-tu tienne?
Quand serais-je ta reine?

J'ai envie que tu me dises je t'aime à l'oreille
Tu seras mien , je serais tienne
Mes mains se promèneront sur ton corps
Et tu me diras encore et encore.

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Au plaisir de ton corps
A la joie de t'appartenir
Je te goûte encore
A l'ivresse de te sentir

Submergée par tes caresses
Enivrée de désir
A toi mon corps je laisse
Au plaisir de te faire jouir

La douceur de ton innocence
A volé mon coeur
La fraîcheur de ta jouissance
A envoûte mon corps

De ton corps...Le mien aspire
De tes désirs...Il veut suffire
De tes secrets...Il veut découvrir
De te faire plaisir... Là est son seul désir

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Pour toi j'ai le cœur bohème,
Lorsque je pense à toi j'ai envie d'écr ire des poèmes,
J'essaie parfois de résister,
Mais je me laisse emporter,
Et envahir par ce sentiment.,
Je meurs d'envie de tout te donner,
De laisser mes mains découvrir ton corps et te caresser,
Mes bras t'entourer et te protéger,
Mes yeux te charmer,
Mes paroles te réconforter, te rassurer,
Mes baisers t'envoûter,
Mes mots d'amour t'encourager,
Et je m'envole vers de lointains paysages,
Où l'amour n'a pas peur, ne connaît pas d'interdit et de limites,
J'irai jusqu'à brûler mes ailes,
Pour te prouver combien JE T'AIME.

bravo ma sauterelle j'en veux encore de beaux poèmes

Il suffit de demander ma chère rire

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Il m’est un mot précieux, gravé dès mon enfance
Comme une perle rare, un trésor à trouver
Que je pense, aujourd’hui, en détresse, en souffrance
Tant je le lis, l’entends ... violé, bafoué

Quand le coeur en émoi ressentait sa présence
Il s’en faisait l’écrin ... “A la vie, à la mort”
Ni le temps, les tourments, les départs, les absences
Rien ne l’égratignait tant il se savait fort

Il suffit aujourd’hui d’une bénigne rencontre
D’un baiser sur la joue, d’un regard convivial
Pour qu’on le crie, le chante, qu’on le braille à tout rompre
L’ Amitié, pour tout dire, de nos jours ... c’est banal !

On te sert de “ l’ ami(e)” comme on te sert un verre
Et c’est juré, promis que ce s’ra ... pour toujours
Juré, promis, mon oeil ! ... au moindre coup d’ tonnerre
Parti(e) l’ami(e) ... bizarre ... ! Y’a plus personne autour !

Et puis il y a ceux-là ... oui, ceux-là qui m’écoeurent
Qui font de l’amitié comme si c’était un “dû”
A tel point qu’ils en chialent, qu’ils en chient, qu’ils en meurent
Si quelqu’un leur dit : “Toi ?” ... mon ami ??? ... Ça va plus ???

Pourtant j’en sais encore de ces amitiés vraies
De ces coeurs qui se croisent aux voeux d’éternité
Bah ! C’est jamais qu’un mot ... l'amitié ... désormais ...
Quand j' voudrai en parler ... j' parlerai d’ ... “Amouritié” !
C’est peut-être qu’un mot ... mais ... on ne sait jamais
Si tu le reçois ... du moins ... tu sauras qu’il est vrai !!!

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Loin d'une cour magistrale,
Dans un baiser bestial,
Sous les étoiles ancestrales,
Tu me rends animal.


Tu excites tous mes sens,
J'en deviens folle,
Tu joues de mon indescence,
De tes caresses j'en rafolle.


Ta langue et tes mains habiles,
M'effleurent, tout y passe.
Tout semble si facile,
J'enrage, j'en trépasse...


Je transpire de plaisir,
Je suis docile,
Entre mes cuisses je veux te sentir,
Impossible de me l'interdire...


Je te rend tes supplices,
Ma bouche s'attaque à ton membre,
C'est un vrai délice...
Je t'ébranle !!!


Nos corps brûlent de désir,
J'entrouve ma fontaine d'amour,
Que tu en finisses !!! Je te laisse venir,
Qu'il est bon mourir de plaisir.

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Nos chemins se sont croisés,
nos yeux se sont accrochés.

Ton sourire est devenu mon soleil,
ta tendresse est une grande merveille.

Je t'offre mille baisers,
pour que jamais tu n'en sois privé.

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Je me souviens de ce jour
Où tu devins mon amant,
Me droguant pour toujours
De ces désirs irradiants.

Mes compagnons de passage
Trop jeunes ou trop pressés,
N’avaient cherché le partage
Dans cette tendre complicité.

Tes mains parcourant subtilement
Tout mon corps incendié,
M’ont fait frissonner puissamment
D’un désir exacerbé

Ta bouche titillant mes seins
De petits suçons badins,
Ta langue nerveuse
Descendant vers mon sexe fiévreux

S’attardant sur mon clitoris,
Voulant que je jouisse
Me pénétrant savamment
M’excitant longuement

Cambrée vers toi à me rompre de désir
J’ai crié de plaisir, t’ai supplié de venir
Avec envie, tu m’as possédée
Avec passion, tu m’as aimée..........

alala qu'est-ce-que c'est beau ma sauterelle

Merci
mais pour les deux disons un peu érotique rire

j'avais été bien inspirée le matin

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Un tit poème pour une sauterelle,
qui me donne des ailes,
pour atteindre le 7ème ciel,
ses yeux m'ensorcèlent,
pour elle je resterai fidèle,
c'est ma promesse formelle.

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Une petite sauterelle,
par un jour de printemps,
m'as fait une promesse,
elle veut éclaircir mon ciel,
la tiendra t'elle vraiment,
j'en doute sans cesse.

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ils sont bien bravo